Cisticole des joncs
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Cisticole des joncs
La Cisticole des joncs est le seul représentant de la famille des Cisticolidés en Europe. Les représentants du genre Cisticola ont une silhouette particulière, un corps compact porté par des pattes robustes, de petites ailes, un bec fort, souvent un peu courbe, et une queue étagée et mobile, souvent noire et blanche à l'extrémité.
La Cisticole des joncs correspond bien à ce schéma. C'est une petite cisticole d'à peine plus de 10 cm de longueur. 17 sous-espèces sont décrites, toutes dans l'ancien monde et quand même 2 en France, mais ces ssp ne diffèrent que peu entre elles. On fera ici une description de cette cisticole telle qu'on la voit chez nous.
Il n'y a pas de dimorphisme sexuel. Quand on aperçoit cette cisticole, le plus souvent furtivement, on a l'impression d'un petit oiseau roux. Les parties supérieures (calotte, manteau, dos, couvertures alaires et sus-caudales) apparaissent chamois-roux avec de fortes stries noirâtres. En fait ce sont les plumes qui sont noirâtres, mais largement bordées de chamois-roux, d'où cette impression inverse. La nuque, l'arrière des joues et le croupion sont sans stries. Les rémiges et les rectrices, excepté les centrales, sont brun noirâtre, les premières finement liserées de chamois-roux, les secondes largement.
Les rectrices centrales sont concolores au manteau et les autres montrent une zone subterminale noirâtre élargie et une extrémité blanche. Ce patron n'est net et bien visible qu'en vue par dessous (voir photos). L'œil "miel" est bien visible au milieu d'une zone crème blanchâtre formée par le sourcil, le lore et l'avant de la joue. Le bec est long, rose à culmen noirâtre courbe.
La gorge, le bas de la poitrine et le ventre sont blanc-crème. Le haut de la poitrine est nettement nuancé de roux. Les flancs, les culottes et les sous-caudales sont les parties les plus rousses. Les pattes sont roses.
Le juvénile ressemble à l'adulte, mais à la sortie du nid, il se reconnaît à sa commissure buccale jaune, à son iris brun sombre, au manteau à stries noires plus marquées et à ses pattes d'un rose pâle.
La Cisticole des joncs correspond bien à ce schéma. C'est une petite cisticole d'à peine plus de 10 cm de longueur. 17 sous-espèces sont décrites, toutes dans l'ancien monde et quand même 2 en France, mais ces ssp ne diffèrent que peu entre elles. On fera ici une description de cette cisticole telle qu'on la voit chez nous.
Il n'y a pas de dimorphisme sexuel. Quand on aperçoit cette cisticole, le plus souvent furtivement, on a l'impression d'un petit oiseau roux. Les parties supérieures (calotte, manteau, dos, couvertures alaires et sus-caudales) apparaissent chamois-roux avec de fortes stries noirâtres. En fait ce sont les plumes qui sont noirâtres, mais largement bordées de chamois-roux, d'où cette impression inverse. La nuque, l'arrière des joues et le croupion sont sans stries. Les rémiges et les rectrices, excepté les centrales, sont brun noirâtre, les premières finement liserées de chamois-roux, les secondes largement.
Les rectrices centrales sont concolores au manteau et les autres montrent une zone subterminale noirâtre élargie et une extrémité blanche. Ce patron n'est net et bien visible qu'en vue par dessous (voir photos). L'œil "miel" est bien visible au milieu d'une zone crème blanchâtre formée par le sourcil, le lore et l'avant de la joue. Le bec est long, rose à culmen noirâtre courbe.
La gorge, le bas de la poitrine et le ventre sont blanc-crème. Le haut de la poitrine est nettement nuancé de roux. Les flancs, les culottes et les sous-caudales sont les parties les plus rousses. Les pattes sont roses.
Le juvénile ressemble à l'adulte, mais à la sortie du nid, il se reconnaît à sa commissure buccale jaune, à son iris brun sombre, au manteau à stries noires plus marquées et à ses pattes d'un rose pâle.
Lolus 1er- Messages : 49364
Date d'inscription : 24/11/2020
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